San Martin
Bolivar
Washington
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Primeros años
José F. de San Martín nació en Yapeyú el 25 de febrero de 1778. En 1781 su familia se trasladó a Buenos Aires. Vivieron en una casa en la calle Piedras, entre Moreno y Belgrano. Madre: Gregoria Matorras nació en la España de Castilla la Vieja. Padre: Juan de San Martín nació en la España de Castilla la Vieja. Fue coronel y, en 1774, teniente gobernador de Yapeyú. Hermanos : San Martín tuvo cuatro hermanos mayores: María Elena, Manuel Tadeo, Juan Fermín Rafael y Justo Rufino. Esposa : María de los Remedios de Escalada nació en Buenos Aires el 20 de noviembre de 1797. Contrajo matrimonio con San Martín el 12 de noviembre de 1812, cuando ella tenía 15 años y él, 34. Lo ayudó en la formación del Ejército de los Andes al fundar la Liga Patriótica de Mujeres, para donde donó todas sus joyas. Falleció el 3 de noviembre de 1823. Antes de embarcarse a Europa en 1824, su esposo le hizo construir un sepulcro en el Cementerio de la Recoleta, cuyo epitafio reza: "Aquí yace Remedios de Escalada, esposa y amiga del General San Martín". Hija : Mercedes San Martín nació en Mendoza el 23 de agosto de 1816. Se embarcó con su padre hacia Europa el 10 de febrero de 1824. El 13 de diciembre de 1832 se casó en París con Mariano Balcarce. Falleció en esa misma ciudad el 28 de febrero de 1875. En 1784 llegó con su familia a España. Entre 1789 y 1811
dio sus primeros pasos como militar: ingresó al Regimiento de Murcia
como cadete, luego elevó su rango y participó en las Campañas
en África y de Europa.
El 11 de febrero de 1824 el Libertador se embarcó a Europa para asegurarle una buena educación a su hija. Allí, siguió trabajando para asegurar la Independencia. El 23 de abril llegó al puerto francés de El Havre. Su presencia despertó sospechas: sus papeles fueron incautados y revisados por sus antecedentes revolucionarios. Pero sus documentos le fueron devueltos. El 4 de mayo se embarcó con su hija a Inglaterra. Poco después se radicó en Bruselas. En 1829 San Martín llegó a Buenos Aires pero no desembarcó porque se negó a tomar partido en las luchas internas. Así, volvió a Europa. En 1830 dejó Bélgica y se trasladó junto con su hija a Francia. En 1834 compró una casa en Gran Bourg. Últimos días y legado En 1844 redactó su testamento en París. En 1846 ofreció sus servicios a Rosas. Dos años después, se trasladó a Boulogne-sur-Mer. El 17 de agosto de 1850 falleció en Boulogne-sur-Mer. Sus restos fueron repatriados en 1880 y, actualmente, descansan en un mausoleo contruido dentro de la Catedral porteña. En casi todas las localidades argentinas hay una plaza, una calle, una escuela o un club con el nombre de San Martín. Y, en muchas, hay monumentos en su nombre (incluso, en 1951 fue inaugurada una estatua de él en el Central Park de Nueva York). Su imagen también está en billetes, monedas y estampillas. |
First years :
Jose F of San Martin was born on February 25, 1778 in Yapeyu. In 1781, his family moved to Buenos Aires.They lived in a house of the street Piedras, between the streets Moreno and Belgrano. Mother : Gregoria Matorras born in Spain, Castilla Vieja. Father : Juan de San Martin, born in Spain, Castilla Vieja.He was colonel and in 1774 became governor of Yapeyu. Brothers and sisters : they were 4 elders, Maria Elena, Manuel Tadeo, Juan Fermin Rafael and Justo Rufino. Wife : Maria of los Remedios de Escalada, born in Buenos Aires on November 20, 1797.Wedding on November 12, 1812, 15 years old and him 34.She helped him for the formation of the army of the Andes founding the Patriotic League of the women, for whom she made gift of all her jewels. Died on November 3, 1823. Before embarking for Europe in 1824, her husband made build her a vault in the cemetery of Recoleta whose epitaph said: “here lies Remedios de Escalada, wife and friend of the General San Martin”. Daughter : Mercedes San Martin born in Mendoza on August 23, 1816. Embarked with her father for Europe on February 10, 1824. December 13 1832 Maried with Mariano Balcarce in Paris.Died on February 28, 1875 in Paris. In 1784 he arrived with his family in Spain. Between 1789 and 1811 he
took his first steps as soldier: he incorporated the regiment of Murcie
like "cadet" , then was promoted and took part in the campaigns of Africa
and Europe. On march 9, 1812, he returned to Buenos Aires to take orders
from the patiotic government and to enter the services of the emancipation
in amérique.He created the regiment of Grenadier and became colonel
on December 7, 1812.
On february 11, 1824 the Liberator embarked for Europe to ensure a good education his daughter. There, he continued while working to ensure Independence. On april 23 he arrived at the French port of Le Havre. His presence woke up suspicions; hes papers were confiscated and examined for his revolutionary previous history. But his documents were returned to him. On may 4, he embarked with his daughter for England. A lot of time after,he takes up residence in Brussels. In 1829 San Martin returned to Buenos Aires but didn't unload because he refused to take part in the internal fights. Thus, he turned over to Europe. In 1830, he left Belgium and moved with his daughter in France.En 1834, he bought a house in Grand Bourg. Last days and inheritance : In 1844, he wrote his will in Paris. In 1846 he offered his services to Rosas. Two years later, he moves to Boulogne-on Mer. On august 17, 1850 he dies in Boulogne-on Mer.His human rests were repatriated in 1880 and, currently, lie in a mausoleum built in the cathedral of Buenos Aires.
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Premières années
Jose F. de San Martin naquit le 25 fevrier 1778 à Yapeyu. En 1781 sa famille demenagea pour Buenos Aires.Ils vécurent dans une maison de la rue Piedras, entre les rues Moreno et Belgrano. Mère : Gregoria Matorras née en Espagne, Castilla la Vieja. Père : Juan de San Martin, née en Espagne, Castilla la Vieja.Fût colonel et en 1774 devient gouverneur de Yapeyu. Frères et soeurs : il eut 4 ainés, Maria Elena, Manuel Tadeo, Juan Fermin Rafael et Justo Rufino. Epouse : Maria de los Remedios de Escalada, née à Buenos Aires le 20 novembre 1797.Mariage le 12 novembre 1812, agée de 15 ans et lui 34.Elle l'aida pour la formation de l'armée des Andes à fonder la Ligue patriotique des femmes, pour laquelle elle fit don de tous ses bijoux. Elle mourrut le 3 novembre 1823. Avant de s'embarquer pour l'Europe en 1824, son époux lui fit construire un caveau dans le cimetiere de la Recoleta dont l'épitaphe disait : "ici repose Remedios de Escalada, épouse et amie du Général San Martin". Fille : Mercedes San Martin née à Mendoza le 23 août 1816. S'embarqua avec son père pour l'Europe le 10 février 1824. Le 13 décembre 1832 se maria avec Mariano Balcarce à Paris.Décédée le 28 février 1875 à Paris. En 1784 il débarqua avec sa famille en Espagne.Entre1789 et 1811 il fit ses premiers pas comme militaire: incorpora le régiment de Murcie comme cadet,ensuite il prit du galon et participa aux campagnes d'Afrique et d'Europe. Le 9 mars 1812 il revint à Buenos Aires pour se mettre aux ordres du gouvernement patiotique et au service de l'émancipation en amérique.I créa le régiment des Grenadiers et devint colonel le 7 décembre 1812. La Loge Lautaro : Tout d'abord San Martin prit contact à Londres avec la "Grande Réunion Américaine", société patriotique liée à la franc-maçonnerie (groupe qui proclamait : égalité, liberté et fraternité).Il avait déjà fondé à Buenos Aires et conjointement avec Alvear, au milieu de l'année 1812, une filiale de la loge des"Cavaliers Rationnels",qui fût rebaptisée Loge Lautaro.Nom emprunté à un chef Araucano qui se souleva contre les espagnols au XVI siècle. Combat de San Lorenzo : Le 3 février 1813 il remporta sa première intervention en territoire américain, à San Lorenzo, qui fût aussi son premier triomphe en ces terres. Le chemin de la libération : Le 29 janvier 1814, San Martin assuma le commandement de l'armée du nord (que dirigeait Manuel Belgrano).Le 10 août de cette année-là il devint Gouverneur Intendant de Cuyo. Le gouvernement de Cuyo n'était pas une charge politique convoitée, mais le plaça dans le lieu idéal pour exécuter son plan de libération: traverser la Cordillère, expulser les espagnols du Chili, et ensuite, avancer vers le Pérou , bastion royaliste de l'amerique du sud.Quand il assuma cette responsabilité, le conseil municipal de Mendoza lui offrit une maison que le Libérateur refusa, mais en plus, décida de ne toucher que la moitié de sa solde.En 1816 son plan pour libérer le Chili et le Pérou fût approuvé.
Le 11 février 1824 le Libérateur s'embarqua pour l'Europe pour assurer une bonne éducation à sa fille. Là, il continua en travaillant pour assurer l'Indépendance. Le 23 avril il arriva au port français du Havre. Sa présence éveilla des soupçons; ses papiers furent confisqués et examinés pour ses antécédents révolutionnaires. Mais ses documents lui furent rendus. Le 4 mai il embarqua avec sa fille pour l'Angleterre.Peu de temps après il élit domicile à Bruxelles. En 1829 San Martin revint à Buenos Aires mais ne débarqua pas parce qu'il refusa de prendre partie dans les luttes internes. Ainsi, il retourna en Europe. En 1830 , il quitta la Belgique et déménagea avec sa fille en France.En 1834, il acheta une maison à Grand Bourg. Derniers jours et héritage : En 1844, il rédigea son testament à Paris. En 1846 il offrit ses services à Rosas. Deux années plus tard, il déménage à Boulogne-sur Mer. Le 17 août 1850 il meurt à Boulogne-sur Mer.Ses restes furent rapatriés en 1880 et, actuellement, reposent dans un mausolée construit dans la cathédrale de Buenos Aires. Dans presque toutes les villes argentines il y a un place, une rue, une école ou un club portant le nom de San Martin. Et, dans beaucoup, il y a des monuments à son nom (même à New York, une statue de lui, fût inaugurée dans Central Park en 1951).Son portait se retrouve sur des monnaies, billets de banque et sur des timbres. |
Simón José Antonio de la Santísima
Trinidad Bolívar Palacios y Blanco nació en Caracas en 24
de julio de 1783 de don Juan Vicente Bolívar y Ponte y doña
María de la Concepción Palacios y Blanco. Nacido un aristócrata,
Simón Bolívar recibió una excelente educación
de sus tutores, especialmente Simón Rodríguez. Gracias a
sus tutores, Bolívar conoció las obras del movimiento filosófico
del siglo XVIII y también las de Grecia y Roma clásica.
A la edad de nueve años el joven Bolívar perdió sus padres y quedo en cargo de su tío don Carlos Palacios. A la edad de quince, don Carlos Palacios lo mandó a España para continuar con su educación. Bolívar viajó hacia España en 1799 con su amigo Esteban Escobar. Al hacer este viaje, se detuvo en la Ciudad de México donde se encontró con el virrey de Nueva España quien quedó alarmado cuando el joven Bolívar discutió con confianza acerca de la independencia americana. Llegó a Madrid en junio de ese año y quedándose con su tío Estaban Palacios. En España, Bolívar conoció a María Teresa Rodríguez del Toro y Alayza con quien se casó poco después en 1802. Poco después de volver a Venezuela, en 1803, María Teresa murió de fiebre amarilla. Su muerte afectó grandemente a Bolívar quien juró nunca casarse de nuevo. Promesa que mantuvo el resto de su vida. Después de perder su esposa, Bolívar regresó a España con su tutor y amigo, Simón Rodríguez, en 1804. Mientras en Europa presenció la proclamación de Napoleón Bonaparte como Emperador Francés y después asistió a la coronación de Napoleón como Rey de Italia en Milán. Bolívar perdió respeto por Napoleón, a quien él consideró un traidor a las ideas republicanas. Pero era en Italia que Bolívar hizo su famoso juramento sobre el Monte Sacro de Roma de no descansar hasta que América sea libre. Bolívar regresó a Venezuela en 1807 después de una breve visita a los Estados Unidos. En 1808 Napoleón instaló a su hermano, José, como Rey de España. Esto instigó una gran revolución popular en España conocida como la Guerra Peninsular. En América, como en España, juntas regionales se formaron para luchar contra el nuevo rey. A diferencia de las juntas españolas, las juntas americanas lucharon contra el poder del rey, no solo la persona de José Bonaparte. Ese año, la junta de Caracas declaró su independencia de España y Bolívar fue enviado a Inglaterra con Andrés Bello y Luis López Méndez en una misión diplomática. Bolívar regresó a Venezuela y el 3 de junio de 1811, dio su discurso en favor de la independencia americana a la Sociedad Patriótica. El 13 de agosto, fuerzas patriotas bajo el comando de Francisco de Miranda lograron una victoria en Valencia. El 24 de julio de 1812 Miranda se rindió después de varios desastres militares y Bolívar pronto tuvo que huir a Cartagena. Allí, Bolívar escribió su famoso "Manifiesto de Cartagena" en el cual manifestó que Nueva Granada debería ayudar a liberar Venezuela porque su causa era la misma y porque la libertad de Venezuela aseguraría la libertad de Nueva Granada. Bolívar recibió la asistencia de Nueva Granada y en 1813 invadió Venezuela. Entró a Mérida el 23 de mayo y fue proclamado "Libertador" por el pueblo. El 8 de junio Bolívar proclamó la "guerra a muerte" en favor de la libertad. Bolívar tomó Caracas el 6 de agosto y dos idas después proclamó la segunda república venezolana. Después de numerosas batallas, Bolívar tuvo que huir nuevamente
y en 1815 tomó refugio en Jamaica de donde escribió su "Carta
de Jamaica". Ese mismo año Bolívar viajó a Haití
y solicitó a su presidente, Alejandro Sabes Petión, ayudar
a la causa hispanoamericana. En 1817, con ayuda de Haití, Bolívar
regreso al continente para continuar luchando.
El 26 de julio de 1822 Bolívar tuvo una conferencia con José de San Martín en Guayaquil para discutir la estrategia para la liberación de Perú. Nadie sabe que ocurrió en la secreta reunión entre los dos héroes latinoamericanos, pero San Martín volvió a Argentina mientras Bolívar preparó para la lucha contra el último bastión español en Sudamérica. En 1823 Bolívar tomó comando de la invasión de Perú y en septiembre llegó en Lima con Sucre para planear el ataque. El 6 de agosto de 1824 Bolívar y Sucre juntos derrotaron el ejército español en la Batalla de Junín. El 9 de diciembre Sucre destrozó el último valuarte del ejército español en la Batalla de Ayacucho, eliminando la presencia española en Sudamérica. El 6 de agosto de 1825 Sucre creó el Congreso del Alto Perú cual creó la República de Bolivia en honor de Bolívar. La Constitución de 1826, aunque nunca usada, fue escrita por Bolívar mismo. También en 1826 Bolívar creó el Congreso de Panamá, la primera conferencia hemisférica. Pero en 1827 debido a rivalidades personales entre los generales de la revolución, explotaron guerras civiles que destrozaron la unión sudamericana por cual Bolívar había luchado. Acorralado por guerras fraccionales y sufriendo de tuberculosis, El Libertador Simón Bolívar murió el 17 de diciembre de 1830. |
Simon Bolivar was one of South America’s greatest generals.
His victories over the Spaniards won independence for Bolivia, Panama,
Colombia, Ecuador, Peru, and Venezuela. He is called El Liberator
(The Liberator) and the “George Washington of South America.”
Bolivar was born in July 24, 1783, at Caracas, Venezuela. His parents died when he was a child and he inherited a fortune. As a young man, he traveled in Europe. As he returned to Venezuela, Bolivar joined the group of patriots that seized Caracas in 1810 and proclaimed independence from Spain. He went to Great Britain in search of aid, but could get only a promise of British neutrality. When he returned to Venezuela, and took command of a patriot army, he recaptured Caracas in 1813 from the Spaniards. The Spaniards forced Bolivar to retreat from Venezuela to New Granada (now Colombia), also at war with Spain. He took command of a Colombian force and captured Bogota in 1814. The patriots, however, lacked men and supplies, and new defeats led Bolivar to flee to Jamaica. In Haiti he gathered a force that landed in Venezuela in 1816, and took Angostra (now Ciudad Bolivar). He also became dictator there. Bolivar marched into New Granada in 1819. He defeated the Spaniards in Boyar in 1819, liberating the territory of Colombia. He then returned to Angostura and led the congress that organized the original republic of Colombia (now Ecuador, Colombia, Panama, and Venezuela). Bolivar became its first president on December 17, 1819. Bolivar crushed the Spanish army at Carabobo in Venezuela on June 24, 1821. Next, he marched into Educador and added that territory to the new Colombian republic. After a meeting in 1822 with another great liberator, Bolivar became dictator of Peru. His army won a victory over the Spaniards at Ayacucho in 1824, which needed Spanish power in South America. Upper Peru became a separate state, named Bolivia in Bolivar’s honor, in 1825. The constitution, which he drew up for Bolivia, is one of his most important political pronouncements. by : Harvey L. Johnson But in 1827 due to personal rivalries between the generals of the revolution, civil wars exploded that destroyed the South American Union for which Bolivar had fought. Cornered by fractional wars and suffering of tuberculosis, the Simón Liberator Bolivar died the 17 of December of 1830. |
Simon Bolivar était l’un des plus grands généraux
de l’Amérique du Sud. Ses victoires sur les Espagnols ont gagné
l’indépendance pour la Bolivie, le Panama, la Colombie, l’Equateur,
le Pérou, et le Venezuela. Il s’appelle El Liberator (le libérateur)
et le « George Washington de l’Amérique du Sud. »
Bolivar est né en 24 juillet 1783, à Caracas, Venezuela. Ses parents sont morts quand il était enfant et a hérité d’une fortune. En tant que jeune homme, il voyaga en Europe. A son retour au Venezuela, Bolivar prit le commandement de l'armée patriote qui s'empara de Caracas en 1810 et proclama son indépendance de l'Espagne. Il alla chercher de l'aide en Grande-Bretagne, mais ne put seulement obtenir qu'une promesse de neutralité britannique. Quand il revint au Venezuela, il prit le commandement de l' armée patriote et reprit Caracas aux Espagnols en 1813. Les Espagnols forcèrent Bolivar à se retirer du Venezuela vers Nouvelle Grenade (maintenant Colombie), aussi en guerre avec l’Espagne. Il prit la tête d’une force colombienne et captura Bogota en 1814. Les patriotes étant cependant épuisés et sans provisions, et les nouvelles défaites amenèrent Bolivar à s'enfuir en Jamaïque. A Haïti il reunit une armée qui débarqua au Venezuela en 1816, et prit Angostra (maintenant Ciudad Bolivar). Là il y devint également dictateur. Bolivar marcha sur la Nouvelle Grenade en 1819. Il battit les Espagnols à Boyar en 1819, libérant le territoire de la Colombie. Il revint alors à Angostura et conduisit le congrès qui organisa la république originale de la Colombie (maintenant Equateur, Colombie, Panama, et Venezuela). Bolivar devint son premier président 17 décembre 1819. Bolivar écrasa l’armée espagnole à Carabobo au Venezuela le 24 juin 1821. Puis, il marcha sur l'Equateur et ajouta ce territoire à la nouvelle république colombienne. Après une union en 1822 avec un autre grand libérateur, Bolivar devint dictateur du Pérou. Son armée remporta une victoire sur les Espagnols chez Ayacucho en 1824, qui avait besoin du pouvoir espagnol en Amérique du Sud. Le Haut Pérou est devenu un état séparé, appelé la Bolivie en honneur de Bolivar’s, en 1825. La constitution, qu’il a élaborée pour la Bolivie, est l’une de ses déclarations politiques les plus importantes. par : Harvey L. Johnson Mais en 1827 dus aux rivalités personnelles entre les généraux de la révolution, les guerres civiles ont éclaté que détruit l'union sud-américaine pour laquelle Bolivar avait lutté. Miné par des guerres fractionnelles et souffrant de la tuberculose, le libérateur Simón Bolivar meurt le 17 de décembre 1830. |
George Washington nació
en 1732, en una prospera familia de agricultores de Virginia.
Su padre murió cuando él tenía once años; su
madre, Maria, era una mujer fuerte y trabajadora que luchó para
llevar adelante su hogar con la ayuda de dos hijos de un matrimonio anterior.
Aunque nunca recibió más que la educación de la escuela primaria, exhibió talento para las matemáticas. Esta destreza para los números, combinada con su confianza y ambición, llamó la atención de Lord Fairfax, cabeza de una de las familias más poderosas de Virginia. Mientras trabajaba para Lord Fairfax como topógrafo, a la edad de dieciséis años, el joven Washington viajó mucho tiempo por el desierto. Servicio del Ejército Británico: La tragedia de la muerte de su medio hermano Lawrence, quien lo había guiado y sido su mentor después de la muerte del padre, golpeó al joven. George heredó de su hermano el Monte Vernon, donde vivió el resto de su vida. Cuando Inglaterra y Francia fueron enemigos en América, compitiendo por el control del valle del Río Ohio, Washington llevó a cabo una misión del ejército británico, dirigiendo una fuerza mal entrenada y equipada de 150 hombres con el fin de construir una fortaleza en los bancos del Río Ohio. En el camino, encontró y atacó a una pequeña fuerza francesa, matando a un ministro francés en el proceso. El incidente provocó la lucha abierta entre británicos y franceses y en un fatídico empeño los británicos fueron derrotados por la superioridad táctica de los franceses. Aunque Washington fue aclamado como héroe en las colonias cuando se extendió la voz de su valor y dirección heroica contra los franceses, el gobierno real en Inglaterra culpó a los colonos por la derrota. Enojado por la falta de respeto y aprecio que le demostraron, Washington dimitió del ejército y regresó a cultivar en Virginia. En 1759, se casó con Martha Custis, una viuda rica y dedicó su tiempo a hacer funcionar la plantación de la familia. Para 1770, Washington había emergido como experimentado líder – juez de paz – en el condado Fairfax, era miembro de la Casa de Ciudadanos de Virginia, respetado miembro de la junta parroquial y líder en su iglesia. Durante los primeros años de la década de 1770, también fue de los primeros americanos prominentes que apoyaron el comienzo de la resistencia abierta contra las Actas de Navegación, las nuevas políticas inglesas de imposición de contribuciones y la regulación total de la economía colonial. Un Líder Militar Modesto : Washington fue elegido por la legislatura de Virginia al Primero y Segundo Congresos Continentales que se llevaron a cabo en 1774 y 1775. En 1775, después de que las unidades locales de la milicia de Massachusetts se habían entregado a tropas de Británicas, cerca de Lexington y de Concord, el Segundo Congreso Continental designó a Washington comandante de todas las fuerzas coloniales. Mostrando la modestia que era centro de su carácter y que tan bien serviría más adelante a la joven República, Washington proclamó “No me considero a la altura de ese mandato, pero me siento honrado con él”. Después de derrotar a los Británicos de Boston en la primavera de 1776, Washington y las fuerzas coloniales libraron una serie de humillantes batallas en un perdido esfuerzo por defender Nueva York. Pero el día de Navidad de ese mismo año, condujo a su ejército a través de una ventisca feroz, cruzando por Delaware en Nueva Jersey y derrotó a las fuerzas de Hessian en Trenton. En mayo de 1778, el francés convino una alianza con los americanos la cual marcó el punto decisivo de la revolución. Washington sabía que una gran victoria de su ejército haría fracasar la ayuda del parlamento británico a su guerra contra las colonias. En octubre de 1781, las tropas de Washington, asistidos por la marina de guerra francesa, derrotaron a Cornwallis en Yorktown. Para la primavera siguiente, el gobierno británico estaba listo para terminar las hostilidades. ¿Rey Washington? : Después de la guerra, Washington rechazó una oferta potencialmente desastrosa de algunos de sus antiguos oficiales para declararlo rey. Entonces volvió al Monte Vernon y a la vida apacible de un plantador de tabaco, sólo fue sacado de su retiro para presidir la Convención Constitucional en 1787. Su gran carácter dio credibilidad a la llamada para un nuevo gobierno y aseguró su elección como el primer presidente de los Estados Unidos. Agudamente consciente de que su conducta como Presidente sentaría los precedentes para el futuro cargo, ponderó cuidadosamente cada paso que tomó. Él designó a Thomas Jefferson y a Alexander Hamilton para su gabinete. Casi inmediatamente, estos dos hombres comenzaron a pelear sobre una amplia gama de problemas, pero Washington valoró grandemente el equilibrio que brindaron a su gabinete. Literalmente el « padre de la nación, » Washington casi sin ayuda creó una nueva forma de gobierno de las instituciones, ministerios y prácticas políticas. Aunque quiso retirarse con urgencia después del primer mandato, Washington fue apoyado unánimemente por el colegio electoral en 1792 para un segundo período. A través de sus dos mandatos, Washington luchó para prevenir la aparición de partidos políticos, viéndolos como facciones dañinas al interés público. Sin embargo, en su primer período, la división ideológica entre Jefferson y Hamilton se profundizó, formando el primer esquema del sistema de partidos de la nación. Este sistema se compuso por los federalistas, que apoyaron con energía la expansión federal y las políticas de Alexander Hamilton y de los Demócratas-Republicanos, seguidores de la filosofía de Thomas Jefferson del derecho de los estados y de una fuerza federal limitada. Washington generalmente apoyó a Hamilton en las cuestiones claves, tales como el financiamiento de la deuda nacional, la asunción de las deudas del estado y el establecimiento de un banco nacional. En sus mandatos, Washington insistió en su poder para actuar
independientemente del Congreso en los conflictos extranjeros. Cuando comenzó
la guerra entre
Su negativa a aceptar la oferta de una corona y su buena voluntad para abandonar el cargo después de dos mandatos estableció el precedente para limitar el poder de la presidencia. Los profundos logros de Washington crearon los fundamentos de un gobierno nacional de gran alcance , que ha sobrevivido por más de dos siglos. |
George Washington was born
into a mildly prosperous Virginia farming family in 1732. His father died
when George was eleven; his mother, Mary, a tough and driven woman, struggled
to hold their home together with the help of her two sons from a previous
marriage. Though he never received more than an elementary school education,
young George displayed a gift for mathematics. This knack for numbers,
combined with his quiet confidence and ambition, caught the attention of
Lord Fairfax, head of one of the most powerful families in Virginia. While
working for Lord Fairfax as a surveyor at the age of sixteen, the young
Washington traveled deep into the American wilderness for weeks at a time.
British Army Service : Tragedy struck the young man with the death of his half brother Lawrence, who had guided and mentored George after his father’s death. George inherited Mount Vernon, where he lived for the rest of his life, from his brother. At the time, England and France were enemies in America, vying for control of the Ohio River Valley. Holding a commission in the British army, Washington led a poorly trained and equipped force of 150 men to build a fort on the banks of the Ohio River. On the way, he encountered and attacked a small French force, killing a French minister in the process. The incident touched off open fighting between the British and the French, and in one fateful engagement, the British were routed by the superior tactics of the French. Although Washington was hailed as a hero in the colonies when word spread of his heroic valor and leadership against the French, the royal government in England blamed the colonials for the defeat. Angry at the lack of respect and appreciation shown to him, Washington resigned from the army and returned to farming in Virginia. In 1759, he married Martha Custis, a wealthy widow, and thereafter devoted his time to running the family plantation. By 1770, Washington had emerged as an experienced leader—a justice of the peace in Fairfax County, a member of the Virginia House of Burgesses, and a respected vestryman, or lay leader in his church. He also was among the first prominent Americans to support open resistance to the Navigation Acts, England’s new policies of taxation and strict regulation of the colonial economy, during the early 1770s. A Modest Military Leader : Washington was elected by the Virginia legislature to both the First and Second Continental Congresses, which were held in 1774 and 1775. In 1775, after local militia units from Massachusetts had engaged British troops near Lexington and Concord, the Second Continental Congress appointed Washington commander of all the colonial forces. Showing the modesty that was central to his character, and which would later serve the young Republic so well, Washington proclaimed, “I do not think myself equal to the command I am honored with.”After routing the British from Boston in the spring of 1776, Washington and the colonial forces fought a series of humiliating battles in a losing effort to defend New York. But on Christmas Day that same year, he led his army through a ferocious blizzard, crossed the Delaware into New Jersey, and defeated the Hessian forces at Trenton. In May 1778, the French agreed to an alliance with the Americans, which marked the turning point of the Revolution. Washington knew that one great victory by his army would collapse the British Parliament’s support for its war against the colonies. In October 1781, Washington’s troops, assisted by the French navy, defeated Cornwallis at Yorktown. By the following spring, the British government was ready to end hostilities. King Washington? : Following the war, Washington quelled a potentially disastrous bid by some of his senior officers to declare him king. He then returned to Mount Vernon and the genteel life of a tobacco planter, only to be called out of retirement to preside at the Constitutional Convention in 1787. His great stature gave credibility to the call for a new government and insured his election as the first President of the United States. Keenly aware that his conduct as President would set precedents for the future of the office, he carefully weighed every step he took. He appointed Thomas Jefferson and Alexander Hamilton to his cabinet. Almost immediately, these two men began to quarrel over a wide array of issues, but Washington valued them greatly for the balance they lent his cabinet. Literally the “Father of the Nation,” Washington almost single-handedly created a new government—shaping its institutions, offices, and political practices. Although he badly wanted to retire after the first term, Washington was unanimously supported by the electoral college in 1792 for a second term. Throughout both his terms, Washington struggled to prevent the emergence of political parties, viewing them as factions harmful to the public good. Nevertheless, in his first term, the ideological division between Jefferson and Hamilton deepened, forming the outlines of the nation’s first party system. This system was composed of Federalists, who supported expansive federal power and the policies of Alexander Hamilton, and the Democratic-Republicans, followers of Thomas Jefferson’s philosophy of states’ rights and limited federal power. Washington generally backed Hamilton on key issues, such as the funding of the national debt, the assumption of state debts, and the establishment of a national bank. Throughout his two terms, Washington insisted on his power to act independently of Congress in foreign conflicts. When war broke out between France and England in 1793, he issued—on his own authority—a Declaration of Neutrality in the conflict. He also acted decisively in putting down a rebellion by western Pennsylvania farmers protesting a federal whiskey tax, the Whiskey Rebellion of 1794. After he left office, exhausted and discouraged over the rise of political factions, Washington returned to Mount Vernon, where he died almost three years later.Historians agree that no one other than George Washington could have held the disparate colonies, and later the struggling young Republic, together. To the Revolution’s last day, Washington’s troops were ragged and starving, and their pay was months in arrears. In guiding this force during year after year of humiliating defeat to final victory, more than once paying his men out of his own pocket to keep them from going home, Washington earned the unlimited confidence of those early citizens of the United States. Perhaps most importantly, Washington’s balanced and devoted service as President persuaded the American people that their prosperity and best hope for the future lay in a union under a strong but cautious central authority. His refusal to accept a proffered crown and his willingness to relinquish the office after two terms established precedents for limiting the power of the presidency. Washington’s profound achievements built the foundations of a powerful national government that has survived for more than two centuries. |
George Washington est né dans une famille de fermier modérément
prospère de Virginie en 1732. Son père est mort quand George
avait onze ans ; sa mère, Mary, une dure et maîtresse femme
, lutta pour tenir leur maison avec l’aide de ses deux fils d’un mariage
précédent. Bien qu’il n’ait jamais reçu plus qu’une
éducation d’école primaire, le jeune George montra un don
pour des les mathématiques. Ce talent pour des chiffres, combiné
avec sa confiance tranquille et son ambition , attirèrent l'attention
de Lord Fairfax, chef d’une des familles les plus puissantes en Virginie.
Tout en travaillant pour Lord Fairfax en tant qu’arpenteur à l’âge
de seize ans, le jeune Washington voyagea loin dans le désert américain
pendant de nombreuses semaines.
Au service de l'Armée Britannique : La tragédie frappa le jeune homme avec la mort de son demi-frère Laurent, qui avait guidé et dirigé George après la mort de son père. George hérita de son frère Mount Vernon, où il a vécu le reste de sa vie. A l'époque, l’Angleterre et la France étaient des ennemis en Amérique, luttant pour la controle de l’Ohio River Valley. Tenant une commission dans l’armée britannique, Washington conduisit une armée mal entrainée et équipée de 150 hommes pour construire un fort sur les rives du fleuve Ohio. Sur le chemin, il rencontra et attaqua une petite armée française, tuant un ministre français dans le combat. L’incident déclencha une lutte ouverte entre les Anglais et les Français, et dans un enclenchement fatidique, les Anglais furent battus par la tactique supérieure des Français. Bien que Washington ait été acclamé en tant que héros dans les colonies quand s'exprima l'étendue de son héroique valeur et de ses qualités de chef contre les Français, le gouvernement royal en Angleterre blâma les colonies pour la défaite. Fâché contre le manque de respect et d’appréciation montrés vers lui, Washington démissionna de l’armée et retourna dans sa ferme de Virginie. En 1759, il épousa Martha Custis, une veuve riche, et ensuite consacra son temps à courir la plantation de famille. Vers 1770, Washington avait émergé en tant que chef expérimenté—un juge de la paix dans le comté de Fairfax, un membre de la Chambre des députés de Virginie, et un paroissien respecté, ou agisser en chef dans son église. Il était également parmi les premiers éminents Américains à apporter sa résistance ouverte aux lois de navigation, nouvelles mesures de l’imposition de l’Angleterre et controle strict de l’économie coloniale, au début de 1770. Un Chef Militaire Modeste : Washington a été élu par le parlement de Virginie aux premier et deuxième congrès continentaux, qui se sont tenus en 1774 et 1775. En 1775, après que des unités locales de la garde nationale du Massachusetts aient engagé des troupes britanniques près de Lexington et de Concord, le deuxième congrès continental nomma Washington commandant de toutes les armées coloniales. Montrant la modestie qui était le trait central de son caractère, et qui servirait plus tard tellement bien la jeune République , Washington proclama, « je ne pense pas moi-même être à la hauteur du commandement dont je suis honoré. » Après mis les anglais en déroute à Boston au printemps 1776, Washington et les forces coloniales combattirent une série de batailles humiliantes dans un effort perdu d'avance pour défendre New York. Mais le jour de Noël de la même année, il mena son armée à travers une féroce tempête de neige, traversa le Delaware dans le Nouveau-Jersey, et battit les armées de toile de jute à Trenton. En mai 1778, le Français était d’accord pour une alliance avec les Américains, ce qui marqua le tournant de la révolution. Washington sut qu’une grande victoire de son armée effondrerait le soutien du Parlement britannique pour sa guerre contre les colonies. En octobre 1781, les troupes de Washington, aidées par la marine française, battirent Cornwallis àYorktown. Au printemps suivant, le gouvernement britannique était prêt à finir des hostilités. Le Roi Washington ? : Après la guerre, Washington réprima une offre potentiellement désastreuse de certains de ses principaux officiers pour le déclarer roi. Alors il retourna à Mont Vernon et à la vie distinguée d’un planteur de tabac, seulement pour être sorti de sa retraite pour présider à la convention constitutionnelle en 1787. Sa grande stature donna la crédibilité pour appeler un nouveau gouvernement et assura son élection en tant que premier président des Etats-Unis. Profondément conscient du fait que sa conduite comme président placerait des précédents pour le futur des fonctions, il pesa soigneusement chaque décision qu’il prenait. Il nomma Thomas Jefferson et Alexandre Hamilton dans son cabinet. Presque immédiatement, ces deux hommes commencèrent à se disputer sur une grand nombre de questions, mais Washington les appréciait considérablement pour l’équilibre qu’ils donnèrent à son cabinet.Littéralement le « père de la nation, » Washington a presque d’une seule main créé un nouveau gouvernement façonnant ses institutions, ses fonctions, et pratiques politiques.Bien qu’il ait eu envie de se retirer après le première mandat, Washington a été unanimement soutenu par le collège électoral en 1792 pour un deuxième mandat. Lors de ses deux mandats, Washington lutta pour empêcher l’apparition des parties politiques, les considérant comme factions nocives au bien public.Néanmoins, dans son premièr mandat, la division idéologique entre Jefferson et Hamilton se creusa, formant les contours du premier système de partis de la nation. Ce système était composé de fédéralistes, qui soutenaient la pouvoir fédéral expansif et les mesures politiques d’Alexandre Hamilton, et de démocrates-républicains, partisans de la philosophie des droits des états de Thomas Jefferson et qui limitait la pouvoir fédéral.Washington a généralement soutenu Hamilton sur les questions clés,telles que le financement de la dette nationale, l’acceptation des dettes d’état, et l’établissement d’une banque fédérale. Durant ses deux mandats, Washington insista sur son pouvoir d’agir indépendamment du congrès dans des conflits étrangers. Quand la guerre éclata entre la France et l’Angleterre en 1793, il publia de sa propre autorité une déclaration de neutralité dans le conflit. Il agit également décisivement en mâtant une rébellion des fermiers de la Pennsylvanie occidentale protestant contre un impôt fédéral sur le whiskey, la rébellion du whiskey de 1794. Après qu’il eût quitté les affaires,épuisé et découragé par l'augmentation des factions politiques, Washington retourna à Mount Vernon, où il mourrut presque trois ans plus tard. Les historiens conviennent que personne d'autre que George Washington ne pourrait avoir tenu ensemble les colonies disparates, et plus tard la jeune et laborieuse République. Au dernier jour de la révolution, les troupes de Washington étaient loqueteuses et affamées, et leur salaire était impayés depuis des mois.En guidant cette armée ,après des années de défaites humiliantes jusqu'à la victoire finale, plus d’une fois payant ses hommes de sa propre poche pour les empêcher de rentrer à la maison, Washington gagna la confiance illimitée de ces premiers citoyens des Etats-Unis. Peut-être plus important, la fonction équilibrée et dévouée de Washington comme président persuada le peuple américain que leur prospérité et meilleur espoir pour l’avenir se trouvaient dans une union sous une autorité centrale forte mais prudente. Son refus d'accepter une couronne offerte et sa bonne volonté d’abandonner les affaires après deux mandats établit des précédents pour limiter le pouvoir de la présidence. Les profondes réalisations de Washington établirent les bases d’un gouvernement national puissant qui a survécu durant plus de deux siècles. |